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Lors de cette journée du onze septembre 2001, la population a été témoin de la catastrophe, notamment du deuxième avion frappant la deuxième tour du world Trace Center. La retransmission télévisée de l'attentat a duré toute la journée sur de nombreuses chaînes. Quelques vidéos, qui montraient le premier avion, ont réussi à capter des images du deuxième avion percutant la deuxième tour. La plupart des gens n'ont pas vu l'événement en direct. En effet, c’est grâce à la retransmission incessante et sur plusieurs chaînes qu’ils ont découvert la catastrophe. Il y eut alors un choc immense au sein de la population, qui assistait, abasourdie, à la chute des tours ainsi qu’aux nombreuses tentatives des personnes prisonnières essayant de sauver leur vie. Les téléspectateurs ont aussi pu voir l’affolement de la population new-yorkaise se rassemblant soit à proximité des tours, soit devant des écrans de télévision. Une fois le choc des premières images passé, s’est installée une incompréhension généralisée face à cet événement. Dans les journées suivantes, l’attentat était à la une de tous les médias et était le sujet principal de toutes les discussions.
Lors de cette journée du onze septembre 2001, la population a été témoin de la catastrophe, notamment du deuxième avion frappant la deuxième tour du world Trace Center. La retransmission télévisée de l'attentat a duré toute la journée sur de nombreuses chaînes. Quelques vidéos, qui montraient le premier avion, ont réussi à capter des images du deuxième avion percutant la deuxième tour. La plupart des gens n'ont pas vu l'événement en direct. En effet, c’est grâce à la retransmission incessante et sur plusieurs chaînes qu’ils ont découvert la catastrophe. Il y eut alors un choc immense au sein de la population, qui assistait, abasourdie, à la chute des tours ainsi qu’aux nombreuses tentatives des personnes prisonnières essayant de sauver leur vie. Les téléspectateurs ont aussi pu voir l’affolement de la population new-yorkaise se rassemblant soit à proximité des tours, soit devant des écrans de télévision. Une fois le choc des premières images passé, s’est installée une incompréhension généralisée face à cet événement. Dans les journées suivantes, l’attentat était à la une de tous les médias et était le sujet principal de toutes les discussions.
La population ne comprend pas l’origine des attentats, ce qui provoque une colère envers leurs auteurs, bien qu’ils soient encore inconnus à ce moment- là. L’évolution de la situation a été très suivie, tant cette quête de vérité était importante. Certains ont pu se montrer agacés par le manque de réelle information et par la vue des victimes dont le nombre ne cessait d’augmenter. Le sacrifice des pompiers a ravivé l’émotion. Le monde entier a vécu leurs luttes, tout d’abord contre les flammes puis dans les gravats à la recherche des survivants. La population était, comme nous l’avons précédemment évoqué, très choquée par le désespoir des personnes présentes dans les tours au moment de leur effondrement. Certains ont préféré se suicider par défenestration plutôt que de périr dans les flammes ou dans l’effondrement des tours. Là encore, les téléspéctateurs ont assisté au drame. Après le choc devant le nombre incroyable de victimes, il y eut la peine profonde ressentie par le monde entier. Le journaliste du Monde, Jean-Marie Colombani, écrit alors fort justement: « nous sommes tous américains ».
Ce sentiment d’appartenance au peuple américain peut trouver comme origine la compassion ressentie envers toutes les victimes, que ce soit celles des tours mais aussi celles qui étaient dans les avions et qui ont téléphoné à leurs proches avant le crash. Ces conversations ont été relatées dans la presse écrite. La vague de peine a provoqué une grande quantité de réactions qui se sont manifestées par de nombreux articles de journaux, ainsi que par la création de nombreux reportages. De plus, de nombreux chefs politiques ont soutenu, par leurs discours sans équivoque, les Etats-Unis si cruellement touchés en affirmant leur volonté de les aider à trouver les commanditaires de ces actes. Le jeudi 13 septembre, George W. Bush a officiellement reconnu qu’il considérait que l’organisation terroriste Al-Qaïda était à l’origine de ces attentats. Cette affirmation fut pendant longtemps relatée à la une de la presse écrite, mais aussi dans d'autres médias, accompagnée d’informations relatives à ce groupe terroriste, précédemment peu connu du public et désignant ces membres comme étant des personnes très dangereuses devant être arrêtés le plus rapidement possible, ce qui poussa les Etats Unis d’Amériques à envoyer un grand nombre de soldats en Afghanistan, où était supposé se trouver, selon les services secrets américains, Oussama Ben Laden, le chef du groupe terroriste extrémiste Al-Qaïda.
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Oussama Ben Laden
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